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La Mort d’Olivier Bécaille : De l’inconvénient d’être né
Six pieds sous terre, mon cher (1)…La Mort d’Olivier Bécaille, d’emblée, allez, L’Inhumation prématurée retravaille. Zola lut-il Poe ? Pourquoi pas, puisque opus original paru en 1844, quarante ans...
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Buried : The Voices
Six pieds sous terre, mon cher (2)…Mélodrame d’immobilité, d’irakienne ubiquité, merci au BlackBerry, Buried (2010), n’en déplaise aux critiques, à son créateur Rodrigo Cortés, n’évoque Hitchcock,...
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Emmanuelle 4 : La Femme aux deux visages
Naufrage d’enfantillages ? Hommage à dommages…Chirurgie du récit et charcutage du montage : Emmanuelle 4 (1984) démontre en lui-même la division de son sujet, film dit érotique assorti de trois...
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Vampyr : Ils attrapèrent le bac
(S’)enfariner, à la farine ou au blé, de force ou de gré, Sharif ou Gray, allez…Commençons donc par un trio d’échos. Le Casse (Verneuil, 1971), À quoi je sers… (Boutonnat, 1989) et Twin Peaks: Fire...
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Les Grandes Gueules : Les Douze Salopards
Suite à son visionnage sur le site d’ARTE, retour sur le titre de Robert Enrico.Les Grandes Gueules (1965) commence comme un western, se poursuit en polar puis se déploie en étude de mœurs. On songe à...
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Coup de tête : Le Dîner de cons
« C’est l’histoire d’un mec » privée de Coluche, remplie de baudruches… Sans atteindre la tension d’un spécialiste appelé Maurice Pialat, qui lui-même ensuite réalisera une autre mémorable scène de...
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Top Secret : La Graine et le Mulet
Suite à son visionnage sur le site d’ARTE, retour sur le titre de Blake Edwards.« La patience est nécessaire en tout » explique le Soviétique : il convient d’en posséder beaucoup pour encaisser...
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Grand Prix : Go Fast
Du futurisme, en Ferrari, un écho à Monaco ? Plutôt l’expertise holistique de Saul… Moins connu que ses remarquables contributions à disons L’Homme au bras d’or (Preminger, 1955), Autopsie d’un...
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Hartley, cœurs à vif : Notes sur Nina
Californienne fraternelle, fornication à fond… Pensée peinée pour Caroline Cellier (1945-2020)The more I think about sex the better it getsHere we have a purpose in lifeGood for the blood...
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Mission impossible : Emmanuelle
« Caresses buccales et manuelles » ? « Amours des feintes défuntes »… Mission impossible (1996) commence à « Kiev » via une mise en abyme : le spectateur et la spectatrice regardent un homme et une...
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My Dinner with Andre : Bienvenue à Bourvil(le)
Anti-alcoolisme d’irrésistible causerie ? Souvenirs virés vers la vie…À JacquelineTel l’admiré-démarqué Fernandel, remember La Cuisine au beurre (Grangier, 1963), pourtant pas la meilleure, puisque...
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Les Griffes de la nuit : Fred
Hymne à la joie ? Hymen d’effroi…Sur le fond de mes nuits Dieu de son doigt savantDessine un cauchemar multiforme et sans trêve.J’ai peur du sommeil comme on a peur d’un grand trou,Tout plein de vague...
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Rosemary’s Baby : Le Démon de midi
Prophétie de folie ? Bénédiction de saison…« Mes chers frères, n’oubliez jamais, quand vous entendrez vanter le progrès des lumières, que la plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il...
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En légitime défense : Mon ami Pierrot
Honneur ou déshonneur ? France d’autrefois, ma foi…À la (mer)veilleuse Jacqueline WaechterDialogué par le dédoublé Frédéric Dard, quel drolatique lexique, quel délectable caviar, Audiard déjà se...
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Kaléidoscope (sans Hitchcock) II
Six années de ciné recensées sur FB…À propos de Nice (Jean Vigo, 1930)Accompagné de Kaufman, Vigo invente le point de vue vertical des séries US urbaines (ou du générique de Candymanen mode Nicolas de...
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Kaléidoscope (sans Hitchcock) I
Six années de ciné recensées sur FB…24 Hour Party People (Michael Winterbottom, 2002)L’évocation, sous forme de rock/mockumentary, d’une période et d’une personnalité, celle du Manchester musical de...
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Bosna!
Une œuvre, un plan : What You Get Right Now (2020)« Tu n’as rien vu à Sarajevo », ou (où) un descendant décomplexé de l’atomique Alain Resnais de la sympathie éprouverait For the Daemon (Brieuc Le...
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Les Nuits de Cabiria : Julieta
Suite à son visionnage sur le site d’ARTE, retour sur le titre de Federico Fellini.Ton style c’est ton culTon style c’est ton cœurLéo FerréLes Nuits de Cabiria (1957) croise Le Cheik blanc (1952) à...
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Terreur à l’opéra
Une œuvre, un plan : La Malédiction de Belphégor (1967)Merci à Jacqueline Waechter« Il tape fort, Monsieur Belphégor ! » : la petite production paupérisée espérait probablement profiter du plébiscite...
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Jésus de Montréal
Une œuvre, un plan : Le Chat dans le sac (1964)Merci à Jacqueline Waechter« Je vénère Jean Vigo » : et davantage Godard ou le Resnais de Hiroshima mon amour (1959), pour faire court. L’opus pionnier,...
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